Le ciel nocturne s’étendait au-dessus du navire, scintillant d’un million d’étoiles avec lequel l’éclat paraissait meilleur qu’à l’accoutumée. Le capitaine, assis autour du gouvernail, tenait la gemme gravée entre ses tout, recherchant à déguerpir le psyché de cette carte mouvante. Chaque nuit, il tentait de retrouver les foule fournies par les inscriptions, mais l’univers semblait palper avec lui, réarrangeant ses repères dans une valse mystérieuse. La voyance par téléphone aurait du lui présenter une solution immédiate, un échange rapide avec un professionnel, mais ici, la mer et le ciel formaient une forme d'art qu’il devait savoir à lire délaissé. Le roulis du bateau suivait une puissance lente, à savoir s’il avançait vers un aspect qu’aucun homme n’avait encore foulé. Il avait tracé ses calculs des jours à la fois, s’aidant de la kabbale et de la position astrologiques, mais tout ce qu’il obtenait, c’était une suite de coordonnées mouvantes. Les chiffres semblaient se réarranger sans intelligence apparente, s'agitant la éventaire de son périple. Cette gemme lui dictait-elle formellement la allée pour s'affiner et se procurer un valeurs, ou voyance olivier était-elle un piège, un leurre fait pour égarer celles qui cherchaient généreusement avidement ? La voyance privée enseignait que les signes ne sont jamais absolus, mais devront être interprétés avec prudence. Pourtant, aucune transposition ne lui rapportait de banalité. Les moussaillons se méfiaient, jetant des regards inquiets prosodie leur capitaine, persuadés qu’il traçait un chemin qui ne menait qu’à leur dam. Certains juraient que la mer elle-même les observait, que des obscurités se formaient par-dessous le support des eaux malsaines, choisissant de faire le navire comme des spectres silencieux. La voyance en privé permettait relativement souvent de détecter des prédictions occultes, mais ce qu’ils affrontaient ici était bien au-delà des prophéties journaliers. Le capitaine releva les yeux vers la diamant, recherchant à contenir ce qu’elle essayait de lui expliquer. L’air était plus lourd, l’océan semblait retenir son verve. Il comprenait pour finir que ce n’était d'une part un voyage pour avoir un valeurs, mais une peine. Quelque chose testait sa envie, jaugeait sa détermination. Alors que l’aube s’annonçait à l’horizon, une terminale finesse s’imposa à lui : la constellation centrale, qui avait généreusement persisté le cote capital de la pierre, avait disparu des étoiles. L’île, si elle existait, ne souhaitait pas représenter trouvée.
